Les coups de bistouris sont aujourd’hui les marques de la beauté. Les femmes représentent la grande partie de la clientèle. Les fixations se portent surtout sur la taille et la forme des seins. Trop petits, manque de volume, absence d’harmonie, la chirurgie constitue une alternative pour obtenir la poitrine de ses rêves.  Passage en revue des chirurgies de la poitrine les plus courantes.

L’augmentation mammaire

Certaines femmes se plaignent des petits seins. Faute à la génétique ? Pas forcément. Dans tous les cas, tout se passe durant la puberté. C’est à cette période que le volume mammaire commence à se définir petit à petit. Certaines femmes finissent ainsi avec du bonnet A comme pointure jusqu’à l’âge adulte. La diminution mammaire aussi est à l’origine des petits seins surtout après la période de la grossesse. Et avec l’âge tout va en s’empirant. L’augmentation mammaire consiste ainsi à implanter des prothèses pour parfaire la forme mais aussi en obtenant du volume. Généralement, le produit le plus utilisé dans les prothèses c’est le gel de silicone. Mais on peut aussi rencontrer des prothèses à base de sérum physiologique et ceux contenant de l’hydrogel.

La pexie mammaire

La pexie est un procédé chirurgical visant à corriger la ptose mammaire qui est l’affaissement des seins. On constate que la peau est relâchée. La pexie mammaire a en effet pour objectif de repositionner l’aréole et le mamelon. Le chirurgien ôte l’excédent de peau dans le but d’avoir un rendu le plus naturel possible. Il est ainsi question de remodelage pour plus d’esthétique visuelle.  La chirurgie s’adresse aussi bien aux femmes avec les seins tombants que celles étant victimes de malformations. Le chirurgien peut utiliser des prothèses, passer par la plastie-prothèse ou encore procéder à un lifting. Plus d’informations sur le sujet sont consultables sur http://www.esthetique-chirurgie.org/pexie-mammaire/.

  Comment détecter sa date d’ovulation pour tomber enceinte ?

Les injections graisseuses ou lipolifting

C’est un procédé auquel beaucoup s’intéressent de plus en plus. Il s’adresse surtout aux jeunes femmes. Jugé plus naturel, le principe est de pratiquer une liposuccion sur les cuisses en prélevant de la graisse. Celle-ci sera par la suite injectée dans le sein même de la personne en petites quantités. L’injection dans son ensemble ne s’effectue pas d’un seul trait. Plusieurs séances sont souvent nécessaires. Le but est ainsi d’avoir plus de volume en s’autorisant l’injection de sa propre masse graisseuse. Bien que cette technique ne demande pas la présence d’implants, des risques sont cependant à craindre.

Augmentation mammaire par injection d’acide hyaluronique

Pour des finitions sur mesures, l’augmentation mammaire peut s’effectuer aussi via injection d’acide hyaluronique. C’est une pratique devenue très commune ces derniers temps. Cette chirurgie mammaire est la seule qui ne demande pas d’anesthésie générale ni hospitalisation. Ce qui n’induit donc pas d’arrêt de travail. Un avantage non négligeable surtout pour les personnes qui ne disposent pas suffisamment de temps libre. Toutefois il est conseillé de se reposer au moins 48 h après l’intervention. La substance injectée est résorbable et à renouveler régulièrement. La première injection dure un an environ. Une injection annuelle est par la suite effectuée  avec des doses de plus en plus minimes à chaque fois.

Opération chirurgicale

La réduction mammaire

Cette chirurgie est aussi très en vogue auprès des personnes souffrant d’hypertrophie mammaire. Et elle concerne aussi bien les hommes que les femmes. On note ainsi un volume trop important des seins par rapport à la physionomie globale de la personne. Asymétrie, retentissement psychologique, complexe, maux de dos, nombreuses sont les raisons pour lesquelles la personne est poussée à effectuer une réduction mammaire. La personne est mise sous anesthésie générale durant l’opération. Le but étant d’éliminer le volume excédant afin d’obtenir des tailles dans la norme. Chirurgie sans douleurs, la patiente ou le patient n’aura besoin que d’antalgiques simples après l’opération. 

  Se mettre au sport : conseils pour bien débuter !